Abdel
« J’ai commencé à venir à la Maison quand j’étais incarcéré et je venais à « Dessine-moi un espoir ». Depuis ma sortie, je participe à « Retour à la Maison ». On peut parler de tout, on est humains. Je reviens, c’est comme un besoin de nourriture. La spiritualité et l’engagement me gardent les deux pieds sur terre. En ce moment, j’ai des larmes d’espoir car j’ai retrouvé mes enfants. J’ai su être très patient. Je remercie la Maison Orléans. »